Zac Efron : ces 5 films incontournables qui ont marqué sa carrière

De Hairspray à Iron Claw, retour sur les cinq rôles qui ont révélé un Zac Efron bien plus profond que son image de star Disney.

Zac Efron
© Omar Vega
Zac Efron

De l’adolescent propret de High School Musical à l’acteur respecté de Iron Claw, Zac Efron a parcouru un chemin que peu imaginaient. Passionné de baseball au point de collectionner les balles autographiées, adepte de méditation transcendantale pour digérer ses rôles les plus sombres, l’acteur a aussi connu la douleur — celle d’un pouce disloqué sur un tournage, ou d’une mâchoire fracturée après une chute. Autant d’épreuves qui ont forgé un interprète plus instinctif. Voici cinq films qui racontent, à leur manière, cette évolution.

Iron Claw (2023)

Exit la comédie musicale. Dans ce biopic sur la famille Von Erich, Efron devient Kevin, catcheur maudit broyé par la gloire et le drame. Métamorphosé, le corps taillé à la serpe, il balance une performance d’une intensité rare. Ceux qui doutaient encore de son jeu ont pris une claque.

The Greatest Showman (2017)

Pas besoin de traduction : le titre dit tout. Face à Hugh Jackman, Efron incarne Phillip Carlyle, héritier en quête de liberté dans un tourbillon de musique et de paillettes. Numéros chantés, complicité explosive, mise en scène grandiose… du spectacle pur, et une confirmation : Efron a le show dans le sang.

17 ans encore (2009)

Retour express au lycée. Dans cette comédie fantastique, il joue la version rajeunie de Matthew Perry. Drôle, attachant, et plein d’énergie, Efron transforme le concept un peu fou en film culte. Un de ces rôles où il rappelle qu’il est aussi à l’aise dans le gag que dans l’émotion.

Nos pires voisins (2014)

Le moment où Zac Efron devient adulte (enfin, façon de parler). En chef de fraternité fêtard, il affronte Seth Rogen dans une guerre de voisinage absurde et hilarante. Humour potache, punchlines qui claquent, et auto-dérision totale : la preuve qu’il sait rire de lui-même, sans filtre.

Hairspray (2007)

Avant les drames, il y avait le brushing. Dans la peau du crooner Link Larkin, Efron combine chant, danse et sourire ravageur. Le film respire la joie, la nostalgie et la couleur. Et surtout, il marque le vrai départ d’une carrière qui allait vite quitter le lycée pour viser les Oscars.

Zac Efron : l'évolution physique folle de l'acteur depuis ses débuts Zac Efron : l'évolution physique folle de l'acteur depuis ses débuts