Depuis que Vampire Survivors a lancé la folie des Survivor-like, des dizaines de studios indépendants tentent de réinventer la formule. Et si certains titres se contentent d’imiter sans briller, d’autres parviennent à imposer leur identité. C’est précisément ce qu’a réussi Megabonk : un mélange improbable de chaos en 3D, de verticalité et de builds complètement dingues qui en font l’un des jeux les plus addictifs de 2025.
Un gameplay aussi simple qu’irrésistible
La boucle reste classique : tuer, ramasser de l’XP, débloquer des armes et des tomes, améliorer son perso, recommencer. Mais là où Megabonk se démarque, c’est dans sa difficulté savamment dosée et dans le plaisir que procurent ses combinaisons d’objets.
Certains runs frisent le grand n’importe quoi : un sort qui vous propulse à travers la carte, couplé à une aura de dégâts qui transforme chaque déplacement en carnage. Et quand le hasard vous offre la bonne synergie, l’écran se transforme en feu d’artifice.
Ajoutez à cela un système de progression persistant (personnages, armes, bonus à débloquer), des boss bien vicieux et un prix qui reste sous la barre des 10 €, et vous obtenez la nouvelle drogue douce des amateurs du genre.
Impossible de lancer une partie « juste pour tester » sans se retrouver trois heures plus tard à se dire qu’on en relancera bien une dernière. Megabonk n’a peut-être pas l’ambition de Vampire Survivors et ses multiples DLC, mais il réussit là où beaucoup échouent : être un concentré de fun immédiat. Préparez-vous à perdre vos soirées, parce que le bonk est beaucoup trop bon.
