
Et oui, la licence Assassin's Creed a bien failli ne jamais exister. Le premier opus devait se nommer Prince of Persia : Assassin, et être un spin-off de Prince of Persia où le joueur incarne le garde du corps d'un prince. De la coopération aurait dû être incluse. Mais la direction d'Ubisoft n'aurait pas aimé que le protagoniste principal de Prince of Persia ne soit pas un prince. Une nouvelle licence est donc née : Assassin's Creed.

En une semaine, Assassin's Creed Valhalla a réussi la performance d'écouler plus de 3,5 millions d'exemplaires, ce qui en fait le plus gros succès de la saga sur cette période devant Assassin's Creed 3.

Peu de fans savent que l'histoire d'Ezio Auditore s'étend au-delà des jeux vidéo Assassin's Creed. Un court-métrage animé nommé Assassin's Creed Embers raconte les derniers instants du héros culte. Le vieil homme s'est retiré mais distille tout de même des conseils à ceux qui viennent lui rendre visite. Finalement, Ezio va s'éteindre paisiblement entouré de sa famille.

A sa sortie, Assassin's Creed Unity cumulait énormément de bugs. Pour rectifier le tir, Ubisoft a déployé un patch quelques semaines après la sortie. Le problème, c'est que celui-ci pesait... 40 Go. Impressionnant, surtout pour l'époque, où les jeux étaient bien moins gourmands. Mais cette mise à jour à la taille record était en fait elle aussi un bug ! L'éditeur corrigera ses erreurs et proposera le patch au poids bien plus acceptable de 7 Go.

Peut-être le savez vous si vous êtes vraiment un fan hardcore de la licence. Mais le succès d'Assassin's Creed est tel que la saga a aussi été porté en comics et même en une dizaine de romans.

Assassin's Creed n'est pas la seule licence dans laquelle apparaît Ezio. Le personnage adoré des fans figure également dans Soul Calibur V, sorti sur PS3 et Xbox 360.