Sa mère était malade depuis un an et demi et seul ChatGPT a trouvé ce qu’elle avait

Sa mère toussait depuis 1 an et demi. Les médecins ne trouvaient rien. ChatGPT, lui, a pointé la cause en quelques secondes.

chatgpt médical
© mdisk
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Et si l’intelligence artificielle pouvait voir ce que des spécialistes n’ont pas su détecter pendant plus d’un an ? C’est l’expérience bouleversante vécue par Shreya, une jeune femme confrontée à un mystère médical que ni la médecine traditionnelle ni les alternatives n’avaient su résoudre. En quelques minutes, ChatGPT a orienté le diagnostic, sauvant sa mère d’une issue potentiellement fatale. Voici comment l’IA d’OpenAI a devancé les plus grands hôpitaux.

18 mois d’errance médicale

Tout commence par une toux persistante. Banale en apparence, elle devient chronique. Puis inquiétante. Shreya raconte avoir consulté les meilleurs médecins, exploré toutes les voies — allopathie, homéopathie, ayurvéda — sans succès.

La santé de sa mère se dégrade, les examens se multiplient, les hypothèses tombent à plat. Puis, les symptômes s’aggravent : des saignements internes apparaissent. Un médecin lance alors une alerte glaçante : « Si cela dure encore six mois, ça pourrait devenir fatal. »

Face à l’impuissance du corps médical, Shreya décide de tenter l’impensable : demander de l’aide à ChatGPT.

Un diagnostic qui change tout

Elle entre les symptômes dans le chatbot, avec le plus de détails possible. En retour, l’IA propose plusieurs pistes — mais l’une d’elles attire immédiatement son attention : un effet secondaire lié à un médicament contre l’hypertension.

ChatGPT demande alors précisément si la patiente prend un traitement contenant un ingrédient spécifique. Coup de tonnerre : la réponse est oui. Shreya consulte aussitôt le médecin avec cette hypothèse. Le lien est confirmé. Le traitement est changé. La toux cesse, la guérison s’enclenche.

« Je n’exagère pas : ChatGPT a sauvé la vie de ma mère. », écrit-elle sur X.

Une IA plus lucide que les médecins ?

Si l’IA peut parfois aiguiller vers la bonne piste, elle ne remplace ni les examens, ni l’expertise clinique. Le cas de Shreya rappelle surtout une chose : l’IA peut compléter la médecine, pas la remplacer. Mais dans des contextes de surcharge médicale, ou face à des pathologies atypiques, elle peut devenir un véritable filet de sécurité.

Mais attention : ChatGPT reste un outil, pas un thérapeute. Mal utilisé, il peut aussi valider des délires ou encourager des comportements dangereux. C’est ce qui est arrivé à Jacob Irwin, dont l’histoire rappelle l’autre face de la médaille : ChatGPT lui a dit qu’il était un génie… il a fini interné en psychiatrie.

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